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Ce samedi, l’Equipe de France, s’est inclinée contre l’Australie dans le cadre des 1/4 de finale de la Coupe du Monde. Interrogée sur la rencontre lors de son passage en zone mixte, Kenza Dali, a estimé qu’elle n’aurait pas dû frapper le tir au but en raison de sa relation avec sa coéquipière en club, la gardienne de but australienne, Mackenzie Arnold.

Sur son tir au but manqué

« Je suis effondrée. Mon penalty est très mal tiré. C’est une gardienne (Mackenzie Arnold) avec laquelle j’ai travaillé deux ans à West Ham. Ce n’est pas une excuse. Je me suis dit, elle va penser que je vais changer. Du coup, je n’ai pas changé, j’aurais dû. Il est mal exécuté. C’est comme ça. Je suis la première déçue. Je prends la responsabilité. Je ne voulais pas le tirer car elle me connaît par coeur. J’ai travaillé avec elle sur des coups francs, des tactiques de tirs. C’était la première à me conseiller sur les penalties. C’est une gardienne très forte sur des penalties. Je me suis posé la question : « je change ? Je ne change pas ? ». Je n’ai pas changé. J’aurais dû. »

Sur l’était d’esprit du groupe

« Là tout de suite, je vais prendre l’élimination pour moi. Je prends la responsabilité. C’est difficile mais c’est comme ça. Pour l’instant, je n’arrive pas à voir le positif. Elles n’ont rien proposé. Nous, sur la première période, on avait un plan de jeu, on l’a respecté. On aurait pu marquer. Elles ont un sauvetage sur la ligne, à part cela, je n’ai pas trouvé qu’elles nous avaient mis en danger. La gardienne fait peut-être deux ou trois super arrêts. On va dire que l’histoire se répète mais en coulisses, pas trop. On est déjà sorties en quart et le groupe était différent. Quand on voit les jeunes sur le banc, j’ai beaucoup d’espoir pour l’équipe de France. Ce n’est pas passé aujourd’hui, ça passera peut-être plus tard. »

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